vendredi 3 octobre 2014

Jour J24 - Etape A17

Sa 04.10.2014
☀ 
Saint Fulgent - Puybelliard - 25 kms - 6h15.

Après avoir navigué entre les deux Maines hier, aujourd'hui ça sera avec les deux Lays. Deux rivières qui vont s'associer avant de se jeter dans l'atlantique.

Départ à 8h15, pour Vendrenne connue pour ses brioches,  pas les vendéennes, mais les vendrennes.
Hélas la briocherie était fermée pour congés annuels.

Je passe devant le château de la Noue.


Puis un petit chemin en forêt. Comme c'est reposant, j'entends les oiseaux gazouiller.... Et tout à coup des canards? dans une forêt, plutôt étrange...  Mais en fait, non, puisque je m'approche d'un plan d'eau: l'étang du cellier.



Et les canards s'en donnent à coeur joie....coin,coin..coin,coin, la plupart, des colverts. Mais plus je m'approche, plus j'ai l'impression de les entendre ricaner.... Ouin,ouin,ouin....
Eux, heureux de patauger et de faire des bulles dans l'eau, et comme s'ils se moquaient de voir passer un malheureux pèlerin chargé comme un mulet et transpirant à grosses gouttes.

A la sortie de la forêt, bien entendu, je tombe sur un joli petit château,  celui de Soubise.


La journée n'est pas très mémorable, dans la mesure, où il y a, en très grande majorité, de l'asphalte. En qualité d'automobiliste, je pensais que les routes étaient plates, que nenni. En marchant, je m'aperçois que sur les côtés, c'est en pente, et que lorsque l'on marche, j'ai toujours un pied bancal, donc très rapidement mal à une cheville. Aussi, du fait de routes très peu fréquentées, j'opte pour marcher au milieu.

Ouf, ça va mieux!!!

Maintenant, direction la sortie de Mouchamps où je vais déjeuner sur une aire de pique-nique.
 
Je ne rencontre personne sur ces routes, la seule que j'ai eu la chance de croiser, je l'ai prise en photo.


Puis, je prends une ancienne voie ferrée, réhabilitée en route. Je passe sur la petite Lay, au viaduc de Courgeon, 


pour arriver 2h30 plus tard à Puybelliard,



plus précisément à Dinchin, dans une chambre d'hôte tenue par le couple Walter.

Il est temps d'arriver, je sens les premières gouttes, mais pas de quoi mouiller un brave pèlerin.

Par contre deux heures plus tard, je suis bien content d'être au sec, car maintenant çà arrose gentiment.




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